SCFP Section locale 3280
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SCFP Section locale 3280

Employées et employés de soutien du Centre de services scolaire des Grandes-Seigneuries

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FRONT COMMUN – INFO-NÉGO – ATTAQUE AU RREGOP: LE GOUVERNEMENT PERSISTE

2023-11 - Info-négo RREGOP
30 novembre 2023
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FRONT COMMUN – INFO NÉGO DU 28 NOVEMBRE 2023 – SEPT JOURNÉES DE GRÈVE À VENIR EN FRONT COMMUN

2023-11-28 - Info-négo Front commun - V2
28 novembre 2023
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Lettre de support de la secrétaire trésorière du SCFP National

Lettre support grève SCFP-3280 - 6 novembre
8 novembre 2023
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Campagne de visibilité du SCFP – Pour faire briller vos enfants, on doit sortir de l’ombre.

Nous sommes plus de 10 000 femmes et hommes à l’œuvre dans les écoles et les collèges du Québec.

Notre fierté, c’est de contribuer à la réussite éducative des élèves et des étudiants et étudiantes – de les faire briller, grandir et évoluer.

Notre rôle est de leur donner une multitude de services et de voir au bon fonctionnement des établissements.

 

Nous sommes des membres du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) présents comme employés de soutien dans les écoles et les collèges, ainsi que comme professionnels et professionnelles de l’éducation. Nous sommes : concierge, ouvrier certifié, technicien en travaux pratiques, secrétaire, psychologue, orthophoniste, éducatrice en service de garde… parmi tant d’autres titres d’emploi.

ÉCOUTER LE MESSAGE RADIO: https://scfp.qc.ca/wp-content/uploads/2023/10/SCF_1323_Soutien_Radio12.mp4?_=1

Vous le savez, depuis nombre d’années, il manque cruellement de personnel dans les écoles du Québec. Cela entraîne un manque de services aux élèves. C’est inacceptable.

Notre charge de travail s’est constamment alourdie. Notre pouvoir d’achat et nos conditions de travail se sont grandement dégradés. Par conséquent, les centres de services scolaires et les collèges n’arrivent plus à recruter et retenir suffisamment leur personnel.

Nous sommes présentement en négociation de nos conditions de travail avec le gouvernement du Québec, qui semble encore vouloir faire fuite en avant. Il est minuit moins une pour corriger le tir. Le temps est donc venu pour nous de sortir de l’ombre. Comme le gouvernement nous ignore et ne nous entend toujours pas, nous sommes forcés d’aller vers la grève.

Nous voulons la même chose que vous : des conditions gagnantes pour faire briller les enfants du Québec. Nous comptons donc sur votre compréhension et votre appui dans nos revendications.

Au Québec, le secteur de l’éducation du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) regroupe 15 sections locales du soutien scolaire comptant environ 10 000 membres, quatre sections locales des collèges comptant environ 800 membres et une section locale de professionnels et professionnelles de l’éducation (SPPLRN-SCFP 5222) comptant environ 1000 membres.

Nos conventions collectives nationales sont arrivées à échéance le 31 mars 2023.

Nous faisons partie des 740 000 membres du SCFP présents à travers le Canada et des 135 000 membres du SCFP au Québec.

Le SCFP est le plus grand syndicat au Canada. Au Québec, il est le plus grand syndicat affilié à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ).

8 novembre 2023
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Le Front commun sera en grève les 21,22 et 23 novembre prochains

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8 novembre 2023
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FRONT COMMUN – JOURNAL DE LA GRÈVE DU 6 NOVEMBRE 2023 – JOUR 1 – UNE PREMIÈRE JOURNÉE SOUS LE SIGNE DE LA SOLIDARITÉ…ET LA PROMESSE DE PLUSIEURS AUTRES À VENIR

2023-11-06 - Journal de la grève Front commun FR
8 novembre 2023
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Communiqué de presse du Front commun – Un dépôt insultant, une fois de plus

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31 octobre 2023
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Le 6 novembre! Annonce importante du Front commun.

26 octobre 2023
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FRONT COMMUN – INFO-NÉGO DU 26 OCTOBRE 2023 – NÉGOCIATION DU SECTEUR PUBLIC: LE FRONT COMMUN EN GRÈVE LE 6 NOVEMBRE

2023-10-26 - Info-négo Front commun - FR
26 octobre 2023
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Communiqué de presse du Front commun – Déclarations du gouvernement: Le Front commun attend la suite

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28 septembre 2023
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28 SEPTEMBRE 2023 – JOURNÉE NATIONALE DU PERSONNEL DE SOUTIEN SCOLAIRE

Journée nationale du personnel de soutien scolaire

28 septembre 2023
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23 SEPTEMBRE

Bonjour à tous, dans le but de pouvoir nous retrouver le 23 septembre prochain, le comité de mobilisation du soutien scolaire vous invite à vous rassembler devant le Monument Sir George-Étienne Cartier devant le parc Jeanne-Mance (voir photo en pièce jointe).

 

Aussi dans le but de se reconnaître durant la marche, nous vous invitons à porter un accessoire rouge;  chapeau, cravate, tuque, foulard, bas, souliers, cap, collier, jupe hawaïenne pour les plus festifs !

 

Au plaisir de vous voir le 23 septembre 2023

 

22 septembre 2023
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22 septembre 2023

23-09-2023-Embarquements
22 septembre 2023
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La FTQ accuse Québec de désavantager les femmes – Journal Les Affaires

Par Dominique Talbot – 11 septembre 2023 – Journal Les Affaires – Source: https://www.lesaffaires.com/secteurs/gouvernement/la-ftq-accuse-quebec-de-desavantager-les-femmes/643236

Le ton monte et les couteaux volent bas entre les représentants syndicaux et le gouvernement. Au cours de la fin de semaine et lundi matin, la présidente de la FTQ, Magali Picard, a publiquement sous-entendu que les offres de hausses salariales de 9% du gouvernement, en comparaison avec celles de 21% à la Sûreté du Québec, s’expliquaient parce que la grande majorité de ses membres étaient des femmes. Une déclaration qui a fait sursauter la présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel.

«Le gouvernement s’est donné 31% d’augmentation (pour les député. es) et la semaine dernière, 21% à la Sûreté du Québec, ce qui nous paraît tout à fait correct. Comment ça se fait que de l’autre main, on offre 9% aux travailleurs de l’État québécois, qui gagnent 44 000 $ par année en moyenne ? Ça n’a pas de bon sens», a commenté Magali Picard au micro de Paul Arcand.

«La vérité, c’est que j’en suis à me demander si c’est parce que nous représentons 78% de femmes, qu’on se fait offrir 9% d’augmentation. L’équité salariale traîne depuis des années avec ce gouvernement», a-t-elle poursuivi.

Ce à quoi Sonia LeBel a répliqué en entrevue avec Les Affaires, en disant que la Loi sur l’équité salariale a des critères très sérieux et que le gouvernement «était très soucieux de suivre l’application de celle-ci. C’est important que les femmes, à travail équivalent, aient un salaire équivalent», a-t-elle ajouté.

Au cours de la fin de semaine, Magali Picard avait tenu des propos semblables au cours d’une entrevue avec La Presse canadienne.

Ces déclarations ont piqué au vif la présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, qui dit mal comprendre pourquoi le discours de la partie syndicale emprunte cette voie.

«Personne se lève le matin en se demandant qu’est-ce que je peux faire pour défavoriser encore plus les femmes», dit Sonia LeBel. «Ce n’est pas vrai que nous avons la double analyse de vouloir favoriser les hommes au détriment des femmes», continue-t-elle.

«Je ferais d’ailleurs remarquer que lors de la dernière convention collective, qui n’est pas si loin, nous avons mis l’accent sur les salaires dans des domaines qui sont en majorité occupés par des femmes : l’éducation, la santé, et les éducatrices de CPE.»

«Dans nos deux ententes précédentes en éducation, en santé et dans les CPE, on est allé chercher des 18%, des 11% et des 16% d’augmentation. Cela n’a pas disparu du paysage hier soir. […] On ne part pas de nulle part, et c’était dans des secteurs majoritairement féminin», ajoute la présidente du Conseil du trésor.

 

«Des questions qui sont légitimes»

Appelée par Les Affaires à clarifier ses propos, la présidente de la FTQ persiste et signe. «J’assume mes propos et je pense qu’il y a lieu de se questionner. […] J’aimerais que le gouvernement réponde à cette question. Pourquoi 30% c’est bon pour les députés, 21% pour la SQ, et dans ce cas, je ne suis pas contre ça, c’est juste et raisonnable ? Et qu’en même temps, on dit aux 420 000 autres travailleuses et travailleurs que vous, c’est 9% pour les cinq prochaines années.»

«Comment, dans le contexte économique actuel, on peut arriver à 12% de moins, alors que nos gens ont de la difficulté à arriver ? Ce sont des questions tout à fait légitimes. Et on se les pose», insiste-t-elle.

La présidente de la FTQ ajoute aussi que «le gouvernement est très bon pour prendre des emplois qui frappent l’imaginaire. Les enseignantes, les infirmières. Mais elles ne travaillent pas toutes seules. Elles travaillent dans des équipes multidisciplinaires. Et tous ces autres postes, comme ils sont moins connus de la population, ont été abandonnés par le gouvernement depuis les vingt dernières années.»

Rappelons qu’au cours de la fin de semaine, le front commun intersyndical du secteur public, qui négocie au nom de 420 000 travailleuses et travailleurs, a annoncé qu’il amorçait une série de consultations auprès de ses membres pour obtenir un mandat de grève, pouvant aller jusqu’à une grève générale illimitée.

Ces consultations se tiendront du 18 septembre au 13 octobre.

Malgré le durcissement des échanges, Sonia LeBel demeure confiante d’en arriver à une entente. «Ça fait longtemps qu’on sait que les syndicats se préparent à obtenir le droit de grève. Cela fait partie de leurs processus. Ils en ont parlé au printemps. Est-ce que suis surprise, la réponse est non ? Est-ce que je souhaite que nous ayons des grèves ? La réponse est évidemment non. […] Je vais faire tous les efforts nécessaires pour qu’on arrive à une solution le plus rapidement possible.»

De son côté, Magali Picard se dit optimiste que les parties en arrivent à une entente. «Les canaux de communication sont toujours ouverts», souligne-t-elle. Dans l’attente d’une entente, une grande journée de mobilisation nationale est prévue dans les rues de la métropole le 23 septembre prochain.

 

12 septembre 2023
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Le grand tumulte – Chronique de Michel David – 12 septembre 2023 – Le Devoir

Michel David – 12 septembre 2023 – Le Devoir – Source: https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/797845/chronique-grand-tumulte 

Sous le titre Le grand tumulte, un documentaire de l’ONF a immortalisé l’affrontement de 1972 entre le gouvernement Bourassa et le front commun des syndicats du secteur public, qui avait culminé dans l’emprisonnement des chefs des trois grandes centrales.

Dix ans après, c’est le gouvernement Lévesque, aux prises avec la plus grave récession depuis les années 1930, qui avait provoqué une nouvelle crise en imposant aux employés de l’État des compressions salariales temporaires de 20 %.

Si le Parti libéral du Québec (PLQ) avait été réélu haut la main à peine un an après le bras de fer de 1972, celui de 1982 avait marqué le début de la fin pour le Parti québécois (PQ). Quarante ans plus tard, certains ne le lui ont toujours pas pardonné.

Le contrecoup avait été presque immédiat. Non seulement trois ministres avaient été bousculés par des travailleurs du secteur public à leur arrivée à un conseil national tenu à Québec, mais le PQ avait perdu coup sur coup quatre élections partielles dans des circonscriptions où il l’avait facilement emporté à l’élection générale de 1981.

Contrairement au PQ de l’époque, que les syndicats percevaient comme leur allié naturel, la Coalition avenir Québec (CAQ) n’a jamais eu la prétention d’avoir « un préjugé favorable envers les travailleurs ». Malgré ce que plusieurs appréhendaient, la victoire de la CAQ en 2018 n’a pas entraîné une guerre sans merci entre le gouvernement Legault et les syndicats, qui lui prêtaient les pires intentions. Somme toute, le dernier volet de négociations s’est déroulé sans trop de heurts.

Les choses se présentent nettement moins bien cette fois-ci. On assiste depuis des mois à un dialogue de sourds, si bien que le front commun a décidé de demander à ses membres un mandat qui permettrait de déclencher une grève générale illimitée s’il n’arrive pas à s’entendre avec le gouvernement. On n’en est pas là, mais le premier ministre François Legault dit lui-même craindre le déclenchement de grèves dans les secteurs de la santé et de l’éducation à compter de la fin du mois.

Certes, le ton n’est plus celui de 1972, quand le monde syndical entendait faire le procès de l’État capitaliste, voire l’abattre. De la même façon, si l’inflation fait présentement des ravages, la situation économique n’a rien à voir avec celle de 1982, quand les taux d’intérêt avoisinaient les 20 %. Il n’est pas question de réduire les salaires et personne n’ira en prison.

Plaider les limites de la « capacité de payer » de l’État fait partie des figures imposées à chaque négociation, d’autant plus que le gouvernement a fait le choix de baisser les impôts et de distribuer des chèques à tout le monde. Il n’est pas question non plus d’offrir les mêmes augmentations à tout le monde.

Bien entendu, cette frugalité ne concerne pas les députés, qui ont reçu une augmentation immédiate de 30 000 $, ni les policiers de la Sûreté du Québec, qui auront droit à une hausse de 21 % en cinq ans, alors que la majorité des employés de l’État devront se contenter de 9 %.

Même s’il ne s’agit sans doute pas d’une « offre finale », l’écart avec les demandes syndicales est tel qu’il est difficile d’imaginer un compromis acceptable pour tous, comme l’ont constaté les médiateurs qui ont tenté de trouver une voie de passage.

Si une entente se révèle impossible, le danger n’est pas de voir les dirigeants syndicaux recommander à leurs membres de défier une éventuelle loi spéciale ordonnant un retour au travail, comme cela avait été le cas en 1972, mais plutôt de provoquer une désaffection généralisée dans l’ensemble du secteur public.

Aussi perturbateurs qu’ils aient pu être, les grands confits des décennies précédentes n’avaient pas pour toile de fond la pénurie chronique de main-d’oeuvre qui afflige présentement les services publics. Quand il est aussi facile de trouver un emploi ailleurs, comment peut-on espérer attirer et retenir des gens qui estiment ne pas être traités avec le respect qu’ils méritent ? M. Legault l’a souvent répété : les travailleurs, y compris les employés de l’État, ont maintenant le gros bout du bâton. La dynamique des négociations doit s’adapter à cette nouvelle réalité.

Dans le passé, il suffisait d’attendre que l’opinion publique en ait assez pour adopter une loi qui mettait fin à la grève aux conditions souhaitées par le gouvernement. Aujourd’hui, le résultat serait désastreux. Le succès du redressement des réseaux de la santé et de l’éducation, dont la CAQ devra répondre à l’élection de 2026, passe nécessairement par l’adhésion de ceux qui y oeuvrent. En ce sens, le succès de l’opération repose moins sur le ministre de la Santé, Christian Dubé, ou sur celui de l’Éducation, Bernard Drainville, que sur leur collègue du Trésor, Sonia LeBel.

S’il y a une chose dont les hôpitaux et les écoles n’ont pas besoin, c’est bien d’un nouveau tumulte, même un petit.

12 septembre 2023

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